Interpellation de l’ancien militaire ultraviolent retranché en Dordogne après 36 heures de traque. Selon le GIGN, 30 interventions pour interpeller des forcenés dangereux ont eu lieu entre janvier et mars, « presque trois fois plus » que les années précédentes. Et on n’en a rien su ! Le pire est que le GIGN estime que ces « forcenés » sont en constante augmentation et tente de recruter de manière massive. Face à eux, les membres du GIGN ultra-entraînés. En même temps, ne rentre pas qui veut dans cette brigade d’intervention réservée à l’élite de nos gendarmes.